L’avenue de Bondy (ancien chemin de communication de Paris au Raincy par Bondy) fut aménagée entre 1860 et 1864 pour redresser l’ancien chemin de la Forge qui suivait l’actuelle rue Arago et l’avenue Burger. C’est après la guerre 1914-1918 qu’elle...
Dénommée à l’origine rue de la Victoire elle prend le nom avenue Georges Clémenceau décédé le 24 novembre 1929 (surnommé le Père la Victoire) le 14 février 1930.
Ancienne place de la Mairie située au sud de la mairie. Créée par délibération du 26 mai 1860 faisant acquisition d’un terrain de 1 516m2 entre la rue du Goulet et la rue de l’Eglise. Elle est agrandie successivement en...
C'est une partie de l'ex-rue Parisy, comprise entre la rue Paul-Vaillant-Couturier et la rue du Parc, qui reçut le 3 novembre 1888 le nom d'un ancien maire de Noisy-le-Sec.
En 1977, l'espace libre situé rue Jean Jaurès à côté de la bibliothèque municipale (actuellement La Galerie) et devant l'immeuble des impôts, a été aménagé en place publique avec parking et reçut le nom de place des Cités Unies.
En 1891, le conseil municipal vote la construction d'un marché couvert et le percement d’une rue transversale de 1500 mètres, partant du n° 28 rue de la forge (actuelle rue Jean Jaurès) débouchant sur la rue Damas (actuelle rue Brossolette)....
On appelait encore ainsi au XX ème siècle une ruelle de 1 mètre de largeur entre deux murs de jardins à l'emplacement d'une ancienne sente ayant bordé le mur septentrional du Clos des Bergeries (photo 1951).
Ancienne rue de la Levée. Par délibération du 27 mai 1905, le Conseil municipal décida de donner son nom à une rue : "Grâce à lui, le petit bourg de Noisy est devenu aujourd'hui l'une des villes les plus prospères...
En 1957, un important retour de flamme se produisit sur la machine à vapeur que conduisait le mécanicien Jean Coquelin. Pour éviter une catastrophe, il entra dans la fournaise et réussit à arrêter son train avant l'arrivée au terminus de...
Londeau, déformation de Longue Eau, est un ancien canton connu avant 1479, qui tire son nom du fossé de "Longue Eau", qui recueillait des eaux de renouvellement, notamment celles du Fond d'Orval.
Ex-ruelle du Four, car un four seigneurial existait au Moyen-Age à l'emplacement de ce qui fut l'école maternelle (démolie lors de l'opération de renouvellement urbain du centre-ville dans les années 1960).
Le 2 décembre 1924, la voie ouverte entre la rue de la Forge et le monument aux morts reçoit le nom d'avenue de la Victoire.
Le 14 février 1930, on lui donne le nom de Georges Clémenceau, surnommé le Père-la-Victoire.
La Dhuis ou Dhuys est un affluent de la Marne, dont les eaux sont amenées à Paris par un aqueduc de 131 km construit aux frais de la ville de Paris, de 1863 à 1865, et qui traverse, souterrainement, la...
La famille Cottereau est connue dès le XVIIè siècle, notamment : Etienne (1619) et Nicolas (1627) propriétaires de terre près de l’église ; Etienne (1748) est procureur de la Prévôté de Saint-Denis ; Denis (de 1768 à 1774) est notaire...
Ex-rue de la Fontaine car, en débouchant dans le chemin de la Luette (le Levée), elle était le plus court chemin pour atteindre la fontaine d’Orval. En 1835, on construisit le premier fort de Cuisy que l’on apercevait dans le...
Le 3 novembre 1888, le nom du Maréchal d’Empire fut donné à la sente des Petits-Noyers, tracée dès le Moyen Age, et qui s’appelait chemin des processions du Saint-Sacrement au XVIIIè siècle.
Un goulet est un passage court et étroit. Dès 1315, il est question du goulet de Noisy, chemin resserré entre deux collines, menant à Romainville. Un filet d’eau y cheminait ; c’était aussi le siège d’une importante fontaine alimentant le...
En 1846, commencèrent les travaux nécessités par le passage de la voie ferrée de Paris à Meaux et c’est le 10 juillet 1849 que s’arrête, à Noisy, le premier train.
La fontaine d’Orval, alimentée par une nappe souterraine, donnait une eau excellente qui jusqu’au milieu du XIXème siècle, était recherchée par presque tous les Noiséens.
Cette rue va du boulevard Gambetta à la ligne de chemin de fer, c’est ce qui reste des chemins des Plants-de Bondy, joignant Noisy à Bondy, appelé aussi chemin de la Grande Tour.
Anciennement chemin du bas de Noisy à Merlan, prit d’abord le nom d’Enfer, car elle était située dans la partie la plus basse de la ville (52m au-dessus du niveau de la mer). En 1888, la municipalité, par une sorte...
L'ancien chemin de la Forge conduisait primitivement de la Place du Carquant, autrement dit du grand Carrouge ou du Carrefour (aujourd'hui Place Jeanne d'Arc) jusqu'en un lieu que l'on disait "es forges".
Brément (Berman, Bermens ou Bresmens) est un nom d’origine normande, désignant un courtier en vin. Le « Bout de Brémant » étant un canton du village, situé à la fourche formée par les chemins de Villemomble et de Rosny.
Dès 1408,...
Le 10 septembre 1888, venant de Fontainebleau et se rendant à Cherbourg, le train présidentiel s’est arrêté à Noisy-ceinture. Monsieur Sadi Carnot, président de la République, est descendu sur le quai, accueilli par le maire, le conseiller d’arrondissement et les...
Ancien curé de Noisy-le-Sec, installé le 28 août 1814, il a fait reconstruire l’église telle qu’on la connaît actuellement (1823) et à fait l’acquisition d’une cloche ; il démissionna en 1840 et se retira à Marie-Thérèse où il mourut en...
Point de départ une tombe du cimetière ancien qui surprend par sa dimension et son allure. Elle est située le long du mur mitoyen avec le réseau ferroviaire, emplacement section A n°111b. A qui appartient cette tombe ? Les registres, détenu au cimetière nouveau, nous apprennent qu’il s’agit de la sépulture de Eugénie Saulgeot, née le...
Histoire de la Mutualité maternelle de Noisy-le-Sec d'après son Livre d'Or (acquisition NLS Histoire(s) 2019). Elle est créée vers 1903 et dépend de la mutualité maternelle de Paris. Les fondatrices sont Madame Lefriant et Madame Gantois.
Les dernières années de l’entreprise Vallourec-Valexy, grâce à "La Gazette des Anciens", bulletin des retraités, qui a paru, de façon tout à fait artisanale, d’avril 1981 à la fin de juillet 1987, année de la fermeture définitive.
Savez-vous que d’autres villes s’appellent « Noisy » avec des surnoms différents ? Nous connaissons tous Noisy-le-Grand, mais connaissez-vous : Noisy-sur-Ecole, Noisy-Rudignon, Noisy-le-Roi, Noisy-sur-Oise ou Noisy-les-Bains ?
La Société de La Bonneville a été fondée le 1er février 1904 par le banquier Soulange Renard. Il exploitait une usine métallurgique à La Bonneville (Eure). En 1913 un agrandissement de cet atelier devenait nécessaire. C’est à cette époque que la direction décide d’acquérir plusieurs parcelles de terrain sur la plaine des Groux.
Julia Bertrand, une femme libertaire et pacifiste qui dû quitter Noisy-le-Sec après le bombardement d’avril 1944. Elle est aujourd’hui oubliée dans les milieux libertaires.
N’ayant pas connu l’urbanisation due à l’activité du chemin de fer et peu subi le bombardement d’avril 1944, la rue de Merlan a gardé son habitat rural quasi intact jusqu’en 1986, date de la rénovation d’une partie de la rue par Garry Faïf.
Par la loi du 25 octobre 1919, parue au journal officiel en 1922 « relative à la commémoration et à la glorification des morts la France au cours de la Grande guerre », l’État lance le projet d'un Livre d'or comprenant les noms de tous ces héros anonymes, qui serait déposé au Panthéon.
Le fort fût un camp de prisonniers de guerre dès les premiers mois de 1945 sous le nom de camp 222 - il y avait 9100 prisonniers dont une section de criminels de guerre.
Connaître notre Histoire, partagez nos histoires !
L'association Noisy-le-Sec Histoire(s) a pour objet de faire connaître et partager avec tous le patrimoine et l’histoire de la commune de Noisy-le-Sec.
Dans le cadre de son projet sur la culture de la vie quotidienne à Noisy-Le-Sec, l’association Noisy-Le-Sec histoire(s) fait un appel à projet aux habitants de la ville afin qu’ils contribuent à l’enrichissement de la collection numérique d’images publicitaires, cartes postales et photographies d’amateurs sur la ville et la vie à Noisy-Le-Sec (période XIXe et XXe siècles).