Rue de Merlan
Le hameau de Merlan est peut-être le Mont-Maurillon, connu dès le VIIè siècle et qui remonterait aux Gaulois.
De Marceau aux Petits Noyers
Le 3 novembre 1888, le nom du Maréchal d’Empire fut donné à la sente des Petits-Noyers, tracée dès le Moyen Age, et qui s’appelait chemin des processions du Saint-Sacrement au XVIIIè siècle.
Aux Bonnes Occasions
La boutique Aux Bonnes Occasions, tenue par madame Le Tohic (que l'on aperçoit à l'entrée de son magasin), se situait boulevard Michelet, face à la Villa Des Fleurs.
Rue du Goulet
Un goulet est un passage court et étroit. Dès 1315, il est question du goulet de Noisy, chemin resserré entre deux collines, menant à Romainville. Un filet d’eau y cheminait ; c’était aussi le siège d’une importante fontaine alimentant le clos des Bergeries en excellente eau potable.
Du 20 au 26 mai : exposition de cartes postales anciennes
Venez découvrir ou redécouvrir Noisy-le-Sec au siècle dernier en parcourant les salles de l'exposition du Centre Gérard Philipe du 20 au 26 mai, organisée par l'association Noisy-le-Sec Histoire (s) et mêlant documents authentiques et reproductions, véritable rétrospective d'un siècle d'Histoire noiséenne...
Rue de la Gare
En 1846, commencèrent les travaux nécessités par le passage de la voie ferrée de Paris à Meaux et c’est le 10 juillet 1849 que s’arrête, à Noisy, le premier train.
École Léo Lagrange 1969-1970
Fond de photographies amateurs. Collection familiale AW. École Léo Lagrange. 1969-1970. Classification Portrait de groupe.
Défilé de La Vigilante
Fond de photographies amateurs. Collection familiale GS. Juin 1949. Classification Le sport.
Défilé de La Vigilante
Fond de photographies amateurs. Collection familiale GS. Juin 1949. Classification Le sport.
Rue du Fond d’Orval, Chemin de la fontaine
La fontaine d’Orval, alimentée par une nappe souterraine, donnait une eau excellente qui jusqu’au milieu du XIXème siècle, était recherchée par presque tous les Noiséens.
18 avril 1944
Dans la nuit du 18 au 19 avril 1944, vers 23 heures, des vagues successives d'avions alliés lâchent près de 3000 bombes en moins de 25 minutes, dont plusieurs projectiles à retardement.