La Vigilante, un témoignage émouvant
Un entretien réalisé en mars 2011, par l'équipe de Noisy-Le-Sec Histoire(s).
Vendredi 25 août 1944, les ponts sautent !
La nouvelle se répand que dans la soirée d'hier les allemands ont fait sauter une partie du château de Vincennes et le viaduc de Nogent-sur-Marne. A midi on se bat à Pantin.
Rue Frépillon
Cette rue est déjà mentionnée dans un registre censier de l'abbaye de Saint-Denis en 1508.
Rue de la Dhuis
La Dhuis ou Dhuys est un affluent de la Marne, dont les eaux sont amenées à Paris par un aqueduc de 131 km construit aux frais de la ville de Paris, de 1863 à 1865, et qui traverse, souterrainement, la partie sud de notre ville. Le 7 mars 1920, le Conseil émit le voeu que...
Enguerrand de Marigny, seigneur de Noisy, pendu de Montfaucon
« Le village de Noisy n’a pas traversé les siècles sans quelque éclat. Parmi ses anciens seigneurs, il comte un illustre pendu, Enguerrand de Marigny, inventeur de ce fameux gibet de Montfaucon, auquel, pour crime d’exaction, il fut bel et bien accroché lui même. » Le chemin des écoliers, promenade de Paris à Marly-le-Roy en...
1789 – Le cahier des doléances de Noisy-le-Sec
Le lundi 13 avril 1789 les habitants de Noisy, remplissant les conditions voulues se réunirent au nombre de 60 afin de procéder à la nomination de leurs représentants.
Rue Cottereau
La famille Cottereau est connue dès le XVIIè siècle, notamment : Etienne (1619) et Nicolas (1627) propriétaires de terre près de l’église ; Etienne (1748) est procureur de la Prévôté de Saint-Denis ; Denis (de 1768 à 1774) est notaire royal ; Jean (1777) est nommé syndic pour la perception des tailles et le reste...
La rue du Fort
Ex-rue de la Fontaine car, en débouchant dans le chemin de la Luette (le Levée), elle était le plus court chemin pour atteindre la fontaine d’Orval. En 1835, on construisit le premier fort de Cuisy que l’on apercevait dans le prolongement de cette rue. La Loi du 5 août 1850 attribua à Romainville ce fort,...
Le Fort de Noisy
L'ensemble des fortifications autour de Paris édifié à partir de 1840 à l'initiative du gouvernement de Louis-Philippe et surtout de Thiers, Président du conseil au moment de la décision a laissé des traces importantes.
L’Hospice de Saint-Antoine-de-Padoue
L’établissement est dirigé par les sœurs de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, qui ont acquis cette propriété moyennant une somme de 25 000 francs, et y ont élevé les constructions qui composent l’hospice. La pose de la première pierre a eu lieu le 14 juin 1896.
Pérégrination de l’Hôtel des Postes
"… vers 1850, un véritable bureau fut aménagé à Noisy-le-Sec, d’abord rue du Goulet, ensuite rue Saint Denis puis rue de Pantin (aujourd’hui Paul Vaillant Couturier) à l’angle de la rue Tripier et finalement en 1895, 84 rue de la Forge (actuelle rue Jean Jaurès) à l’angle de la rue Carnot..."